Ce vendredi 28 mars 2014 à 16h, la société FB SUMA basée à Californie aux Etats-Unis d'Amérique dont une succursale est installée dans les enceintes du Building Bella Visita, troisième étage numéro 19 en face de l'Institut Français de Bujumbura, va officiellement commencer des formations pour ses futurs employés.
Plusieurs titres sur la récente confirmation par le ministre de l'intérieur de la candidature du président Pierre Nkurunziza pour le 3ème mandat. A remarquer qu'à la veille de cette annonce, Washington avait pourtant appelé les dirigeants des Grands lacs à respecter la limitation des mandats. Dans une longue interview publié à RFI., l'envoyé spécial du Président américain pour la région des Grands Lacs M. Russel FEINGOLD avait été on ne peut plus clair en paraphrasant pratiquement son patron à la maison Blanche :'' ce dont l'Afrique avait besoin, ce n'était pas d' hommes forts, mais d'institutions fortes''. Et d'ajouter : '' ce n'est pas une bonne pratique de modifier la Constitution simplement pour le bénéfice de celui ou de ceux qui sont au pouvoir''.
Quatre conseillers du parti CNDD ont changé de casquette, depuis plusieurs mois, et n'ont pas encore été remplacés. Comme conséquence, la réunion du conseil communal de Bururi n'a pas pu se tenir la semaine passée.
Samuel Manirakiza du comité provincial du parti CNDD : « Ces conseillers doivent être remplacés afin de respecter la loi »
Le politique s'est encore une fois taillé la part de lion dans les e-médias des derniers jours.
L'échec du vote à l'assemblée nationale a été toujours présent. "Camouflet pour le camp Nkurunziza'' titre Arib.info, qui, se référant à un des journaux d'RFI, constate que le projet de révision de la Constitution (est) retoqué au parlement suite à une seule voix qui a fait défaut. Mais où est passée cette voix sur laquelle le pouvoir comptait tant ? Une question qui jusqu'aujourd'hui reste sans réponse.
Quand les miliciens pourchassent les policiers, sur qui pouvons-nous encore compter ?
Introduction
A première vue le gouvernement de Pierre Nkurunziza, correspond à la définition de Max Weber : il revendique avec succès le monopole de la violence physique1. Avec cette différence que l'écrivain ajoute : « violence physique légitime », alors que celle de ce gouvernement est portée vers les extrêmes les plus éloignés de la légitimité. Mais pourquoi en est-il arrivé là ? Quels sont les autres piliers sur lesquels le pouvoir d'Etat devrait pouvoir s'appuyer sans devoir user de brutalité ? Pourquoi sommes-nous fondés à penser que ce régime qui campe dans la violence tyrannique, est en train de nourrir les pires démons ?
Le lancement de SMART LET'S TALK a été effectué dans la capitale de Bujumbura par la société téléphonique SMART MOBILE lors des travaux communautaires de 8h à 10h. C'était samedi le 22 mars 2014.
Les activités ont débuté par une tournée de la société « SMART MOBILE » dans toute la capitale de Bujumbura.
Une seule voix, celle de Bonaventure Niyoyankana, député de l'UPRONA a suffit pour dégonfler le parti au pouvoir, cette seule voix a suffit pour mettre en échec le projet de loi d'amendement de la Constitution.
Le maire de la capitale burundaise Bujumbura a interdit les sports en groupe, -soit à plus d'une personne- fréquemment pratiqués par les habitants le week-end, dans ses rues, pour prévenir des "soulèvements" à caractère politique, a-t-on appris jeudi auprès de ses services.
Le Vice Président du Frodebu (opposition) et ancien Vice Président de la république Frédéric Bamvuginyumvira a été libéré ce jeudi sous caution par la Court Anti Corruption.
Tout le personnel de la Clinique Prince Louis RWAGOSORE était assis et rassemblé devant l'hôpital toute la journée de ce 19 mars 2014 suite à un mouvement de grève déclenchée en date du 17 mars pour une durée indéterminée. L'objet de ce mouvement de grève est la revendication liée à une forte réduction des salaires réels et nominaux des travailleurs de cette clinique.