Plusieurs personnes ont été arrêtées sur la colline Mbizi de la commune de Kibago, en province de Makamba. Ces arrestations ont commencé le 14, ont continué le 15, et ont culminé le 16 septembre 2015, jour où près de quarante ont été arrêtés par les militaires et les policiers, qui disaient chercher les armes mais n'ont rien trouvé. L'information a été livrée par certains habitants de la colline Mbizi qui ont voulu garder l'anonymat.
Le gouvernement issu de la mascarade électorale organisée par Pierre Nkurunziza a été constitué le 24 Août 2015 en violation perpetuelle de la constitution en son article 129. Celui qui a formé ce gouvernement est illégal et illégitime, le gouvernement lui-même est illégal et illégitime! Nous considérons tout simplement que ce théâtre est un NON LIEU! Voici ce gouvernement:
Plusieurs détenus au Bureau Spécial de Recherche, BSR en sigle, sont actuellement des jeunes accusés d'être les participants dans les manifestations contre la candidature au troisième mandat de Pierre Nkurunziza, les autres sont accusés d'utiliser des armes à feu la nuit dans les quartiers où ils habitent et tous subissent des tortures hors du commun des mortels. Les informations ont été livrées par ce jeudi le 20 Août 2015 par les jeunes qui avaient été détenus à la BSR mais libérés après paiement d'une somme d'argent sans reçu et ont gardé l'anonymat pour question de leur sécurité.
Des montages de la Police Nationale du Burundi pour les policiers non issus du parti au pouvoir le CNDD FDD, des chambardements dans la communication, des magasins d'armement gardés par des policiers qui n'ont aucune notion sur la tactique de gardiennage des magasins d'armement, une division entre les policiers selon leur origine politique, l'emprisonnement de certains policiers non issus du CNDD FDD, cette situation inquiète certains policiers qui nous ont livré ces informations en date du 13 Août 2015 mais qui ont bien voulu garder l'anonymat pour leur sécurité.
Quand ils sont au service, tous les policiers et militaires de la ville de Bujumbura sont actuellement sous la surveillance des miliciens Imbonerakure du Gouvernement en tenue civile et attendent le moment opportun pour les attraper quand ils tenteront de faire ce qu'ils ne veulent pas. L'information a été livrée par les imbonerakure de la commune de Kanyosha en Mairie de Bujumbura qui ont gardé l'anonymat pour question de leur sécurité.
Tout d'abord, dans sa lettre Rufyikiri devrait être conséquent, il aurait dû annoncer sa démission, dans cette lettre soit disant de conseils, il n'a pas du tout démissionné et il signe comme deuxième VP. La deuxième question à se poser: qu'a-t-il attendu pour dénoncer au grand jour tous ces crimes du pouvoir dont il est issu: crimes humais, crimes économiques il a été complice durant toute la mandature du système Nkurunziza, maintenant comme il ne figure pas sur la liste des candidats aux législatives, il peut parler. Toutefois, il n'est jamais tard pour bien faire, sa lettre est une contribution importante dans le déboulonnage du système Nkurunziza. Nous attendons la lettre de Pie Ntavyohanyuma, il va emboîter le pas de Rufyikiri, une fois sa peur dissipée.
Samedi le 20 juin 2015 ,des étudiants membres de la milice Imbonerakure et les autres Imbonerakure ordinaires, tous au nombre de cinquante, ont participé dans une Assemblée Générale tenue par Salvator Banyankimbona, Recteur de l'Université du Burundi au campus Mutanga, la réunion s'est clôturée en queue de poisson.
Trois bataillons de policiers burundais attendent depuis le mois de mai leur départ pour une formation au Rwanda et puis quitter ce pays pour une mission de maintien de paix et de sécurité en République Centre Africaine qui commencera le 5 septembre 2015. Ces policiers se demandent s'ils partiront ou pas, et les informations ont été livrées par ces policiers qui attendent leur départ et qui ont gardé l'anonymat pour leur sécurité.
Des étudiants Imbonerakure, de simples Imbonerakure, la corruption des nouveaux délégués corrompus sont tous mobilisés pour convaincre les autres de revenir poursuivre leurs études, telle est la chanson actuelle de l'Université du Burundi. Les informations ont été livrées le 19 juin 2015 par un travailleur de cette université qui a voulu gardé l'anonymat pour sa sécurité.
L'Allemagne vient de suspendre sa coopération bilatérale avec le Burundi, tout cela à cause de l'égoïsme d'un homme à qui le pays a tout donné et que nous avons honoré pendant 10 ans!