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Les représentants/présidents des partis SAHWANYA FRODEBU, MSD, FEDS- SANGIRA, UPD ZIGAMIBANGA, ADR, ABAHUZA, FNL, PARENA, SONOVI, CNDD, UPRONA et PIT ont adressé un mémorandum à NKURUNZINZA Pierre, Président de la République du Burundi. C'était en date du 14 octobre 2014.

"...La victoire électorale d'aujourd'hui...C'est aussi le triomphe de la démocratie telle que le peuple murundi la comprend et la veut, c'est-à-dire la véritable justice sociale plutôt que des formes extérieures d'une démocratie de surface. L'heure est arrivée de se pencher sur les véritables problèmes de la nation : problèmes économiques surtout, problèmes de la terre et de l'émancipation sociale du petit peuple, problèmes de l'enseignement et tant d'autres, auxquels nous cherchons et trouverons des solutions qui nous sont propres." Extrait du discours de Rwagasore après la victoire du parti UPRONA le 18 septembre 1961

Chers compatriotes

Ce 13 octobre 2014, nous célébrons le 53 troisième anniversaire de l'assassinat du prince Louis Rwagasore, notre héros de l'indépendance. Nous le faisons, car Rwagasore est et restera un des grands acteurs de la libération africaine qui ont marqué non seulement leurs pays mais tous les peuples africains dans les luttes courageuses qu'ils ont menées pour l'émancipation des pays sous le joug de la domination coloniale. Ils se sont tous engagés corps et âme souvent physiquement dans l'action, certains y ont laissé leur vie. Rwagasore est pour nous une référence historique, un modèle du patriotisme et d'un courage exceptionnel. A 29 ans, il a eu le courage avec ses compagnons de lutte d'affronter la puissance coloniale, cette dernière ne lui a jamais pardonnée, elle a tout fait pour l'éliminer physiquement. Mais ses idées d'unité nationale, de tolérance, d'un homme dévoué aux plus démunis restent d'actualités. Son idéal reste vivant et immortel.

Les militaires de l'Union Africaine en mission pour imposer la paix et la sécurité en Somalie, AMISOM en sigle et les militaires de la Mission de l'Organisation des Nations Unies en République Centrafricaine MINURCA en sigle ont été infiltrés par les Imbonerakure, jeunes intégrés au parti au pouvoir au Burundi et les agents du Service National de Renseignement burundais. Ces informations ont été révélées par les militaires burundais en mission en Somalie et en République Centre Africaine, mais pour leur sécurité, ils préfèrent garder leur anonymat.

Du Nigeria au Burundi en passant par la Côte d'Ivoire et la Centrafrique, les élections présidentielles, législatives et locales sont nombreuses en 2015 sur le continent africain. "Jeune Afrique" vous propose une carte interactive pour y voir plus clair.

Notre pays écope d'une amende de 29 mille dollars américains pour sa non participation aux éliminatoires de la zone 5 de l'AfroBasket et des jeux africains 2015.

Des élections qui font peur, très peur.

Le Frodebu est dans la tourmente, depuis le rendez-vous raté du vendredi du 8. '' Frodebu : réunification ratée'', a titré IWACU alors que la RPA a repris les propos de Ngendakumana expliquant ''pourquoi la réunification n'a pas eu lieu''. Il n'a pas eu lieu parce que ''Le parti Sahwanya-FRODEBU ne pourra jamais accepter une réunification ou association en dehors de la coalition ADC-Ikibiri'', a dit le président du FRODEBU dans « l'émission Uterere'iki ? ».

Les troupes de l'armée burundaise présentes depuis plus d'une année à Kiliba, à Uvira, dans le Sud-Kivu, ont commencé à quitter leurs positions le matin du mardi 7 octobre, afin de regagner leur pays. Les membres de la Société civile et des témoins présents à la frontière de Kiliba affirment avoir vu le commandant de la 10e région militaire, le général major Pacifique Masunzu, constater ce retrait. Selon des sources proches de l'armée congolaise, ces militaires burundais se sont déjà retirés à 90% et le processus se poursuit.

Un monstre (CENI) ne peut engendrer que des monstres (CEPI).

Les fameuses commissions électorales provinciales indépendantes(CEPI) ont été mises en place. Depuis la publication des noms des heureux élus- cela rapporte tout de même par les temps de misère qui courent- de nombreuses voix s'élèvent pour dénoncer la composition de ce premier niveau de démembrement de la Commission Nationale Electorale Indépendante.
Des partis d'opposition à la Société Civile (la vraie) en passant par certaines confessions religieuses, l'on dénonce le caractère très partisan de la mise en place des CEPI en faveur du parti au pouvoir.
Mais à quoi pouvait-on vraiment s'attendre ? Un monstre ne peut engendrer que des monstres !
Les membres de la CENI étant ce qu'ils sont c'est-à-dire, ceux qui mangent dans la main de Nkurunziza, Nshimirimana et Bunyoni, ils ne pouvaient faire autrement que de nommer à leur tour que leurs obligés !
Et la suite ne sera guère différente.

La mission des Nations unies au Congo (Monusco) confirme la présence d'un détachement de l'armée burundaise dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), basé à Kiliba, dans le Sud-Kivu. RFI s'était rendu sur place, il y a quelques semaines, et avait constaté cette présence d'hommes en armes et en uniformes burundais. Une présence démentie par les gouvernements congolais et burundais ainsi que, dans un premier temps, par la mission des Nations unies au Congo. Joint par RFI, le général Abdallah Wafi, représentant spécial adjoint du secrétaire général de l'ONU en RDC, confirme la présence de ces troupes burundaises.

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